Le dernier show des Deadlock... yeah, right!
Plan général de la scène, salle Jean-Despréz à l'intérieur de Radio-Canada. Prochaine étape: le Budokan. Tiens, me semble que Surrender de Cheap Trick ferait un bon ajout au répertoire du band! :-)
Il est batteur. Non-violent. C'est un batteur. Il ne ferait pas de mal à une mouche. C'est un batteur non-violent. Un batteur.
Le jour, cet homme est recherchiste au très sérieux Réseau de l'information. La nuit il se transforme, selon l'animateur de Macadam Tribus, en quelque chose que ceux qui le connaissent surnomment «Guitar God». Ceux qui ne le connaissent pas préfèrent l'appellation: «Qui ça?»
(Sur l'air de Marcia Baila des Rita Mitsouko: «C'est pas l'amour qui t'as étouffé, Cecil!»
Un rai dévastateur, accompagné d'une danseuse du ventre sur laquelle bien des hommes avaient les deux yeux rivés.
À la basse, le métronome humain.
Compositeur d'une toune que j'ai en tête depuis ce show: «Communication».
The Rebel from Saint-Hyacinthe, vu de face...
... de dessous...
... et sous toutes ses facettes.
Guy et, à l'arrière, Koceïla.
Ce que les Deadlock voyaient en jouant, le noyau dur de leurs admirateurs.
Ce que les jambes de la foule voyaient, de leur côté.
Ce que les semelles de la foule voyaient, pour leur part.
Une foule joliment enthousiaste par ailleurs.
La réalisatrice, à quelques minutes de la fin de ce spectacle mémorable.